Linda marche dans le sable des mots, invente la chanson de la mer, danse comme une libellule, à l’horizon de la fenêtre d’une fée. C’est elle-même, cette fée qui lui parle, nue dans sa splendeur.
Cet extrait de la préface de Giovanni Dotoli prend tout son sens lorsque l'on lit le poème suivant :
Niño de cuerpo centelleante,
las palabras que están en el camino
por los caminos del cielo
buscan refugio
en tu alma iluminada
y hacia este lado, entornarás los ojos...
Child in sparks’ body,
words that are en route
on heaven’s roads,
in seek of asylum
into your soul-light,
and on this side here, you’ll turn your eyes...
Enfant au corps d’étincelles,
les mots qui sont en route
sur les routes du ciel,
cherchent un asile
dans ton âme-lumière,
et de ce côté-ci, tu tourneras les yeux.
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