Ce roman est un livre sur des risques collectifs, sur des fonctionnements qui sont dangereux, sur ce qui est bon et mauvais, supérieur et infrahumain dans une même personne (ce qui est montré, mis en scène dans un personnage de fiction) ; il donne une vue prospective d’ensemble dans ce qui est caractéristique des collectivités et ce qui est malheureusement advenu au XXesiècle et parmi ces dangers dans le présent et le futur, des idéologies de certains contrôles et des mégalomanies de dominances.
D’autre part, en remarquant comment l’humain devient trop dépendant, envahi par une partie du machinisme et des effets induits.
Pour une lecture qui invite à un équilibre, au-delà de dérives et une exaltation du post-humain par certains chercheurs et organisateurs.
La littérature empruntant au mythe – en partie dans ce qu’il peut être le plus négatif, du fait d’une insuffisance d’informations – et pour une volonté d’en venir à ce qui est vraiment bénéfique pour une ré-humanisation positive. Et après le théâtre de l’absurde, une issue dans une certaine poésie.
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