Jadis professeur de lettres au lycée Lakanal à Sceaux, puis agent immobilier à Malakoff dans un environnement populaire où il se plait bien, René Le Bars est poète et écrivain. Il traque la poésie partout où elle peut se cacher. Il l'approche avec mille précautions, l'apprivoise pour des caresses furtives, sensuelles, envoûtantes.
Grâce aux éditions scolaires Hachette, Nathan, Rouge et Or, des poèmes pour la jeunesse écrits à l'âge de vingt ans ont pu toucher quelques générations de jeunes élèves.
Aujourd'hui, plus de domaine réservé : René Le Bars écrit toujours pour les enfants, bien sûr, avec une inspiration qui le porte vers les animaux et toutes les manifestations de la nature, mais aussi vers les thèmes plus philosophiques, voire ésotériques et sous des formes très variées : de la poésie libre ou classique jusqu'aux haïkus d'inspiration japonaise. Son champ littéraire s'est naturellement étendu aux contes et aux nouvelles avec un égal plaisir. Bientôt des romans.
Parmi les ouvrages de René Le Bars, les plus significatifs sont :
A corps et cris (Edition Jean Grassin)
Diluviennes, poèmes (Edition La Bartavelle)
L'âne rose, poèmes pour enfants illustrés par Catherine Servan-Schreiber (Edition AKR)
Dans mon cœur... 70 pulsations, Haïkus (Edition du bout de la rue)
C’était à Venise, Haïkus (Edition du bout de la rue)
Là-bas, c'est Montmartre, Haïkus (Edition du bout de la rue)
C'était à Belle-île, Haïkus (Edition du bout de la rue)
Les sept rendez-vous, Nouvelles (Edition du bout de la rue)
Querelle de coccinelles sous la tonnelle, Poésie (Edition du bout de la rue)
Warhol à Venise, Nouvelle (Edition du bout de la rue)
J'ai jeté l'encre, Poésies (Edition du bout de la rue)
Ponts de Paris, Livre d'art (Edition du bout de la rue)
Dessine-moi Paris, Livre d'art (Edition du bout de la rue).

En préparation :
Le trésor de Rosquelfen, nouvelles.

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Né en 1937 à Torre Annunziata, ex Oplonti où se trouvait la résidence de Néron et Poppée, limitrophe de Pompéi non loin d’Ercolanum que l’on peut aujourd’hui visiter.

Depuis son jeune âge, il a été attiré par les fouilles de Pompéi, les magnifiques fresques, le musée National, le musée de Capodimonte où il est possible d’admirer tous les peintres napolitains du 20ème siècle dont le Macchiaioli.

Il a ensuite étudié les Beaux Arts à Naples à l’Instituto Statale d’Arte et quatre ans plus tard, il est reçu au diplôme de Maître d’Art (1956-57). Il continue ses études en suivant un cours supérieur de deux ans et reçoit un second diplôme d’habilitation à l’enseignement des Arts Graphiques, Dessin et histoire de l’Art (1959).

Il a participé à diverses expositions collectives à Torre Annunziata. Au cours d’une de ses expositions personnelles, un admirateur de son art lui achète toutes ses toiles, ce qui lui a permis de venir en France à Paris, le pays des peintres impressionnistes, rêve de tout peintre.

Il fait des travaux de décorations pour les entreprises en vue d’obtenir sa carte de séjour. Plusieurs expositions à la Chambre de Commerce Italienne à Paris lui valent de bonnes critiques dans différents journaux.

La peinture est pour lui une passion et continue à peindre en exerçant en même temps son métier dans le monde de l’Art.

Voir les œuvres de Salvatore Verniti sur son site