Jadis professeur de lettres au lycée Lakanal à Sceaux, puis agent immobilier à Malakoff dans un environnement populaire où il se plait bien, René Le Bars est poète et écrivain. Il traque la poésie partout où elle peut se cacher. Il l'approche avec mille précautions, l'apprivoise pour des caresses furtives, sensuelles, envoûtantes.
Grâce aux éditions scolaires Hachette, Nathan, Rouge et Or, des poèmes pour la jeunesse écrits à l'âge de vingt ans ont pu toucher quelques générations de jeunes élèves.
Aujourd'hui, plus de domaine réservé : René Le Bars écrit toujours pour les enfants, bien sûr, avec une inspiration qui le porte vers les animaux et toutes les manifestations de la nature, mais aussi vers les thèmes plus philosophiques, voire ésotériques et sous des formes très variées : de la poésie libre ou classique jusqu'aux haïkus d'inspiration japonaise. Son champ littéraire s'est naturellement étendu aux contes et aux nouvelles avec un égal plaisir. Bientôt des romans.
Parmi les ouvrages de René Le Bars, les plus significatifs sont :
A corps et cris (Edition Jean Grassin)
Diluviennes, poèmes (Edition La Bartavelle)
L'âne rose, poèmes pour enfants illustrés par Catherine Servan-Schreiber (Edition AKR)
Dans mon cœur... 70 pulsations, Haïkus (Edition du bout de la rue)
C’était à Venise, Haïkus (Edition du bout de la rue)
Là-bas, c'est Montmartre, Haïkus (Edition du bout de la rue)
C'était à Belle-île, Haïkus (Edition du bout de la rue)
Les sept rendez-vous, Nouvelles (Edition du bout de la rue)
Querelle de coccinelles sous la tonnelle, Poésie (Edition du bout de la rue)
Warhol à Venise, Nouvelle (Edition du bout de la rue)
J'ai jeté l'encre, Poésies (Edition du bout de la rue)
Ponts de Paris, Livre d'art (Edition du bout de la rue)
Dessine-moi Paris, Livre d'art (Edition du bout de la rue)
Au fil des stations... Les grands noms du métro, Livre d'art (Edition du bout de la rue).
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Dozo
Passionné d’arts graphiques, Dozo s’initie à la peinture par la fréquentation des musées et des galeries. Malgré son attrait pour le dessin qu’il pratique depuis toujours, ce n’est que vers la trentaine qu’il fera ces débuts en peinture. Il commence par des oeuvres de style aborigène. Puis, il s’orientera vers l’abstrait. Ces passages dans les galeries parisiennes l’inciteront à continuer en parallèle l’abstrait et le figuratif (d’où son style à la frontière de l’un et de l’autre).
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S’essayant à l’acrylique puis aux pastels gras depuis le début du millénaire, il se consacre aux encres et aux dessins. Sa technique de dessin oscille entre la ligne claire empruntée à la BD et le pointillisme.
Paris reste sa source d'inspiration favorite. Le Japon avec ces cinq voyages dans le pays tient lui aussi une place importante dans sa vie. D’où son nom d’artiste : DOZO. Il s'agit d'une formule de politesse japonaise signifiant : je vous en prie, s'il vous plaît, servez-vous, entrez, tenez, etc.
DOZO a exposé à Vanves (Hauts de Seine) en tant que peintre de type aborigène (début) en 2001 et 2002 : en 2003, avec des dessins abstraits en noir et blanc d’inspiration des années 70 ; en 2004, retour vers la couleur et le figuratif avec des encres et des acryliques de vagues et de montagnes ; en 2007, avec des dessins.
Quelques dessins et peintures ont également été exposés à la galerie expression de Bayonne en été 2002 et 2003.
Il a participé aussi au MIACS (Marché International d'Art Contemporain Consacré au Surf ), 2008 à Biarritz.
Eté 2013, quelques dessins ont également été exposés à la galerie de Nicolas Crozet : en face du 47 rue Poncelet 75017 et il a participé à l'exposition collective Eiffel en fête.
Consulter le blog de l'auteur :
http://labaladededozo.canalblog.com/archives/2012/01/13/23234600.html
Illustrations de Dessine-moi Paris, Livre d'art (Edition du bout de la rue),
Illustrations de Au fil des stations... Les grands noms du métro, Livre d'art (Edition du bout de la rue).
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